Ép.36 | Jean-Philippe Moisan - Apprendre à marcher avant de courir !

December 05, 2025 01:15:09
Ép.36 | Jean-Philippe Moisan - Apprendre à marcher avant de courir !
Game on : L'expérience football
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Dec 05 2025 | 01:15:09

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[00:00:00] Speaker A: Il y a une bonne expression qu'un de mes menteurs avait dit. « There's no such thing as specific. [00:00:03] Speaker B: Training. » Jean-Philippe Moisan, t'es kindiologue et propriétaire chez ROM Athlétiques. Ça va loin, là, parce. [00:00:10] Speaker A: Qu'On y C'est pense pas pas. loin, c'est juste qu'on rend compliqués les. [00:00:12] Speaker B: Choses simples. Qu'est-ce qu'eux, les athlètes professionnels, font. [00:00:15] Speaker A: De différent? On travaille sur des temps, sur des momentum, sur les forces et faiblesses que l'athlète a. On parle de 10 000 heures de préparation. T'sais, tout ce temps-là, c'est pas juste sur le temps terrain, c'est le temps de préparation physique qui est dans les 10 000. [00:00:31] Speaker B: Heures aussi. Mettons pour les athlètes qui ont moins de temps ou qui sont tout le temps en partie, quand ils ont le temps de s'entraîner, sur quoi. [00:00:37] Speaker A: Tu travailles? Peut-être juste revenir sur des affaires de mobilité, de base, des trucs, pis après ça va. ça repart. Peut-être je vais me faire haïr parce que qu'est-ce que je viens de dire là, mais d'autant plus, bien mieux, il va être des studs rendus là. Hard work beat talent when talent doesn't work. Fait que le jeune qui a de la coordination, puis de la piloté, puis etc., en croissance, puis avec ses poussées de croissance, le gifté jeune, ça veut pas dire que quand il va avoir une poussée de croissance, il va être. [00:01:02] Speaker B: Aussi hot. Bonjour tout le monde, bienvenue sur Le Game On, je suis votre host, William Rochefort. Aujourd'hui, on tombe encore dans la préparation physique. J'ai la chance de recevoir Jean-Philippe Moisan, préparateur physique, kinesiologue, posturologue, on aura l'occasion de s'en reparler, d'entraîner des joueurs de très haut niveau même jusqu'à Olympique que j'ai vu. Très minutieux dans la façon comment t'entraînes, t'as une façon d'amener l'entraînement qui est très intéressante, très différente de toutes les autres préparateurs physiques que j'ai eus sur le podcast. J'ai vraiment hâte qu'on discute. Merci JP d'être là ce matin, d'avoir accepté mon invitation. C'est très. [00:01:44] Speaker A: Gentil, j'apprécie. C'est. [00:01:45] Speaker B: Un plaisir. Comme à l'habitude, chaque invité a le droit à une introduction sur mon podcast. Voici ton intro. Jean-Philippe Moisan, tu es kindiologue et propriétaire chez Rhum Athlétique. Tu as un background un peu plus de volleyball, donc au niveau collégial. Tu as joué en Division 1. Hors honte, tu m'avais dit que tu avais commencé à CNDF, si je. [00:02:10] Speaker A: Comprends bien. Non, j'avais fait tout le programme à Limoilou, mais je n'ai pas eu la chance de jouer. [00:02:16] Speaker B: À Limoilou. Donc tu as fini à Montmorency où tu as ensuite coaché les programmes sport-études à l'académie Les Estacades une fois que tu étais à Trois-Rivières. Tu as aussi été assistant coach pour l'UQTR au Diablos de Trois-Rivières. et coach pour le programme volleyball féminin de l'Université Laval. Le football est arrivé un peu plus tard dans ta vie, c'est quand ton garçon a commencé avec les mini-Centaur et le mini-Condor. Le petit fun fact, la seule position que tu as joué au football et carrière à l'école secondaire Rochebelle comme ton garçon. Maintenant, tu t'occupes d'un entraînement plus spécifique pour les carrières chez QB Movement et chez Rome Athlétiques. Aujourd'hui, grâce à la préparation physique, tu as la chance de travailler avec des athlètes dans le football, le hockey, le baseball, le tennis, le volleyball, le kayak, l'escrime, le soccer et le patinage de vitesse jusqu'à des. [00:03:19] Speaker A: Niveaux. [00:03:19] Speaker B: Olympiques. J.P. Moisan, bienvenue sur le Game On. C'est un plaisir de t'avoir. En partant rapidement, j'aimerais mettre du background un peu dans ta vie. J'aimerais comprendre d'où tu viens. C'est quoi ton histoire? Pourquoi t'as commencé le volleyball? D'où ça part le sport pour. [00:03:37] Speaker A: Toi JP? [00:03:39] Speaker A: J'ai commencé au baseball toute ma jeunesse un peu à cause de mon père. C'était un des sports qu'il y avait longtemps quand j'habitais à Blainville. Donc, comme tout jeune garçon, dans ce temps-là, le baseball, les expos, c'était vraiment la passion. À ce moment-là, j'ai joué jusqu'à 11 ans. Puis après ça, on a déménagé à Vancouver pendant à peu près un an. Puis on est venu à Québec. Puis, ça a juste tombé que l'école où j'étais au secondaire à ce moment-là. [00:04:18] Speaker A: L'École que ma mère avait été, c'était une école de volley. Je voulais faire du sport, j'ai juste essayé le volley. J'ai eu la piqûre au niveau du volleyball à ce moment-là. Puis, c'était une concentration volleyball. J'ai été au volley rentrer dedans direct. Après ça, on avait, ben si t'étais pas pire, ben ils t'invitaient au casse-poire. Après ça, tu jouais civil avec le CG plus ou moins lourd, donc on était en structure à ce moment-là avec eux. Fait que ça a juste a été une passion. Le volleyball de plage a embarqué là-dedans aussi. J'ai toujours aimé le voler, encore plus le volleyball de plage. Ça a tombé aussi que j'ai eu la chance de jouer, faire plusieurs champions canadiens aussi en tant que joueur. J'ai coaché aussi. J'ai eu la chance d'être assistant coach avec une de mes anciennes coachs à l'équipe du Québec aussi dans ce temps-là. Fait que tu sais, toujours il était en parallèle le volleyball intérieur, le volleyball de plage. Pis malheureusement, j'ai été blessé rapidement à mon épaule. Parce que j'en faisais trop. Pis j'étais un petit geek en muscu aussi. Fait que les blessures ont commencé aussi. Pis de fil en aiguille, beaucoup de physio, beaucoup de chiro et autres. Pis ça a juste débouché où est-ce que... Justement, comme on disait dans l'intro, j'étais allé jouer au Cégep Montmorency. Je me suis blessé. Ma copine avait été recrutée à McGill, puis à Montréal. Puis, parce qu'on était en tronc vertical avec l'Université de Montréal. Puis, j'ai pété mon genou. Puis, ça a fait qu'un petit joueur de 5 et 11 qui n'est plus capable de sauter, ça va pas... Ça va pas très, très haut, loin universitaire. Puis ma copine du temps était étudiante Kiro à l'UQTR. Puis entre temps, on m'a offert un poste d'assistant coach en même temps que mes études à l'UQTR. Ça a parti comme ça. Puis la conjointe du coach, ils portaient les deux le programme collégial. 3A des Diablos. Fait que je suis tombé assistant coach là, pis ouais ça, ben en même temps, un de nos profs à l'université, c'était une des directrices de l'Académie des Estacades pour le CSAD, donc le Centre Alphonse Desjardins. Fait que ça... J'étais allé là aussi. [00:06:57] Speaker A: On était avec Mike Chagnon, Alan, qui était avec le groupe FRAP. Mike Chagnon est tombé beaucoup avec les Diablos, avec mon bon chum Frank Tussaud aussi. Ça a tombé parce qu'on a travaillé avec des joueurs de foot, on avait des différents programmes. Puis moi, j'étais spécialisé avec les épaules, du fait que j'ai été blessé moi-même avec les épaules. Donc le baseball, Puis en fait, je travaillais aussi avec le Midget 3, le Midget Espoir hockey. Il y a eu d'autres disciplines comme ça avec Gilles Bouchard, qui était l'entraîneur du Midget 3, du Midget Espoir. Puis Gilles m'a amené à travailler avec son fils de 9 ans. Fait que travailler avec les Midgets, je vais dire pré-pubère à pubère et travailler dans le développement du DLTA, ça a été une des choses qui a fait que j'ai toujours fait ça. Le sport a continué à travers ça, puis d'avoir travaillé avec l'académie, mais il y avait le patinage de vitesse. Puis moi, j'étais responsable du cream, le cream qui est devenu le... l'ES Morissi, donc Excellence sportive Morissi. Puis ma tâche à moi, c'était de m'occuper autant à massage sportif que de faire la préparation physique en dehors des heures sportives avec les athlètes, soit le programme Team Québec, soit les athlètes de l'équipe nationale, etc. J'ai vu Marie Evneau de l'équipe nationale de soccer pour deux cycles olympiques, Richard Deboer pour le kayak, J'avais eu... Pour le... Puis un des programmes de l'escrime, puis le coach du programme d'escrime, c'était aussi le coach de l'équipe nationale. Fait que c'est là que, tu sais... Tout a amené avec d'aller entraîner quelque temps le programme Escrime Canada. Puis entre-temps, on m'a demandé, bien, veux-tu faire aussi le patinage de vitesse? Fait que là, ça a travaillé avec ça. Puis... Entre temps, quand l'équipe nationale, différents programmes nationaux descendaient ici, dans le temps, à Trois-Rivières. Je suis situé à Québec. Par exemple, Éric Bédard et ses programmes nationaux. Il avait coaché l'Allemagne, il avait coaché le Japon, le Mémoire, la France et l'Italie. Quand il venait ici à Trois-Rivières, Ben la salle, c'est moi qui surveillais la salle. Fait que moi je travaillais avec Éric Bédard, le patinage de vitesse, etc. Puis c'est à juste. J'ai tombé comme ça, j'ai eu certains athlètes qui étaient dans les rouages. J'ai toujours travaillé avec les jeunes et les plus vieux aussi. L'avantage d'avoir été bilingue, ça m'a amené avec les aigles de Trois-Rivières, l'équipe de la Canam, comme premier préparateur physique et soigneur de l'équipe. Pendant trois ans, j'ai eu la chance de voyager. Voir des épaules en masse, Puis j'ai rencontré Alex d'Expertise 360. Donc c'est une plateforme éducative pour les entraîneurs, les kinesiologues et autres en performances sportives qui m'ont ramené un peu à Québec quand j'ai rencontré ma nouvelle copine et la mère de mes enfants maintenant. [00:10:27] Speaker A: Puis ça m'a ramené au Berkey. Ça a tombé où je suis revenu avec le poste d'assistant coach du Rouge et Or au volleyball. De fil en aiguille, mon fils a grandi. On a déménagé à Beauport. Le football est devenu dans sa vie. Ça a juste continué. [00:10:48] Speaker B: Comme ça. Très cool. Tu t'es promené pas mal. Tu t'es construit un CV déjà tôt dans ta carrière. Assez impressionnant. Quand tu. [00:11:00] Speaker A: T'Es blessé... J'ai eu la chance d'avoir beaucoup de mentors aussi là-dedans. C'est des gens qui te donnent encore plus. Tu sais, comme quand mon physio de l'épaule, quand j'ai mon poste avec les aigles, c'était lui qui était le physio des capitales, puis qui était le physio du Rouge et Or Volleyball. Fait que je travaillais déjà beaucoup. Avec ça, quand je suis revenu à Québec, il m'a ramené dans sa clinique de physio. Ça a juste été des aides aussi. Il y a un des mentors qui disait, c'est 20 ans d'expérience, tu le gagnes en 20 ans, sauf si tu as des mentors, tu peux faire des petits jumps dans le temps. Je pense que c'est ça aussi qui a fait un peu. [00:11:42] Speaker B: Ce volet-là. Ah non, c'est vrai, t'as raison là-dessus. C'est très bien dit dans le sens que... Peu importe où tu vas dans la vie, un mentor, ça peut être assez important. Tu as raison que ça peut te faire sauver bien des années. Apprendre des erreurs des autres, souvent. [00:12:07] Speaker B: Coûtera moins cher qu'apprendre des tiennes. C'est intéressant, tu m'as dit qu'en fait. [00:12:18] Speaker B: En fait, le sport s'est terminé pour toi à cause d'une blessure au genou, mais les blessures ont commencé à arriver. Puis tu as dit que, dans le fond, tu étais un maniaque du gym, tu as commencé à avoir des problèmes d'épaule, tout ça. [00:12:32] Speaker B: Est-ce que tu penses que, surtout à un plus jeune âge, où est-ce qu'on est dans le top de notre forme, Est-ce que le fait d'en faire trop ou, je ne sais pas, cette mentalité-là de vouloir être juste meilleur des fois, est-ce que c'est ce qui peut amener les blessures de. [00:12:50] Speaker A: Ce style-là? [00:12:53] Speaker A: Je dirais qu'il y a deux volets à cette réponse-là, puis ça dépend. [00:12:58] Speaker A: La première chose, c'est si tu fais trop de répétitifs, c'est sûr que tu risques d'avoir une problématique. Surtout si t'as pas des bonnes bases. [00:13:12] Speaker A: Puis souvent les bases sont pas nécessairement sexy à entraîner. Puis il y a des trucs que des fois tu te dis comme si on regarde en relais posturaux, tu sais, des mouvements archaïques, que ça soit le quatre pattes ou des choses comme ça. Tu sais, quand tu fais ça à des des 5, 6, 4, 5. La maternelle aller au début du primaire, c'est drôle. Faire ça à des adolescents ou à des adultes, ils ne sont pas sûrs. Mais si on regarde le concept, c'est quand même la coordination bras, jambes qui alternent. maintenir le poids de la tête dans l'axe, meilleure stabilité de la colonne, recrutement des fessiers, puis recrutement du gros orteil dans le sol, puis des abdominaux pour les anti-rotations, etc., puis les anti-extensions. Donc, si tu ramènes à sa croix, sa resserre, puis pourquoi on parle du quatre-pattes vers le debout? Bien, si tu l'amènes comme ça, Tu peux pas avoir de surcharge qui va être problématique parce que veux ou pas, tu travailles différentes choses qui tombent ludiques ou etc. Ça arrête du conditionnement physique. Tu apprends un programme moteur. les Mind-Muscle Connection qui se fait aussi, donc la connexion entre où est-ce que ta main va, où est-ce qu'elle finit, la stabilité scapulaire, tout ça qui rentre là-dedans. Puis de l'autre bord, c'est si tu fais trop de mouvements répétés de biceps, là, ça peut générer une problématique. Ou autant, comme je parlais, moi, comment je me suis blessé aux genoux à ce moment-là, c'est que je faisais beaucoup trop de leg press, puis j'en mettrais beaucoup de l'eau, parce qu'on se faisait dire, bien, c'est de la force. Moi, je vais faire ça et je vais faire du « air alert » pliométrique pour nommer juste lui. Puis là, je vais sauter trois fois plus, etc. Au bout de la ligne, je n'avais même pas mes « hip extension », je n'avais même pas mes hanches, mes fessiers assez forts. Je ne sautais pas plus haut, mais j'avais des quads gros, j'avais le tendon. J'avais trop de tension dans ma bandelette parce que justement, au bout de la ligne, j'étais assis, j'étais fort. pour mon système nerveux, mais je n'étais pas fort du fessier qui faisait que je ne pouvais pas sprinter vite et que je ne pouvais pas sauter haut parce que je n'avais pas. [00:15:33] Speaker B: Mon extension qui partait de là. Tu ne pouvais pas. [00:15:37] Speaker A: Le ramener au sport, en fait. C'est ça, je ne pouvais pas le transférer dans le sport. [00:15:44] Speaker A: Mais j'étais toujours là parce que je croyais que c'était ça qui était bon et que c'est ce qu'on utilisait aussi à ce moment-là, c'était ça. Tandis que si j'avais appris à faire le pivot de la hanche, à faire du deadlift ou faire des variations de deadlift ou autre. [00:16:02] Speaker A: Quand j'ai commencé à le faire ou quand j'ai commencé à faire de l'haltérophilie et à travailler les hanches, la hip thrust ou autre, et qu'on me disait que c'est à cause de ton fessier que tu avais mal au genou, là, ça commence à rentrer et là, j'ai commencé à sauter un peu plus haut. Il était un peu tard, mais c'est après la carrière que j'ai compris pourquoi. C'est là que j'ai décidé d'aider les autres jeunes athlètes à ne pas faire les mêmes erreurs qu'on avait. Quand je vois qu'il y a quelque chose qui s'apparente à créer ce. [00:16:35] Speaker B: Genre de problématique-là, j'embarque dans l'ambiance. Intéressant. C'est quoi les erreurs principales que tu vois que les jeunes font quand vient le. [00:16:48] Speaker A: Temps de s'entraîner pour son sport? Deux choses. Je ne pense pas que ce soit nécessairement les jeunes qui font l'erreur. [00:16:59] Speaker A: Parce que les jeunes ne savent pas. Il y a deux aspects. Il y a le coaching. [00:17:08] Speaker A: Puis souvent, c'est un petit peu plus cher de demander à des gens comme moi qui ont de l'expérience ou etc. parce qu'on vaut plus cher. Ce n'est pas cher à dire, mais il y a ça aussi. Souvent, c'est un coach qui a une double tâche. Puis le coach, ce n'est pas nécessairement... C'est soit un prof d'éduc ou un... l'intervenant sportif aussi, qui ont les bonnes connaissances, etc., générales, mais qui n'ont pas nécessairement l'aspect... Ils ont l'aspect sport. Fait que trop converger vers le sport, ça va avoir justement une problématique à ce moment-là. Il y a une bonne expression qu'un de mes mentors avait dit, « There is no such thing as specific training. » D'autant plus qu'après avoir travaillé avec plusieurs sports. [00:17:59] Speaker A: Dans le sens où est-ce que... Le scrim a besoin de faire du squat aussi, puis de la fente, comme le patinage à vitesse, comme le football, comme le volleyball, comme le kayak. Et oui, le kayak a besoin de travailler ses hanches. Parce qu'il y a une connexion avec le temps de pousser dans le bateau. Même moi, avant de travailler avec le kayak, je ne pensais pas nécessairement. De faire une variation de fente, etc., va avoir cette incidence-là. De travailler les asymétries avant même de travailler la connexion aussi, comme je disais, le quatre pattes. Mais tu regardes le kayak, Je parle du quad pat, d'aller marcher, coordination. Mais le kayak, il y a une connexion qui est de tronc, de stabilité. [00:18:48] Speaker A: La moitié des problématiques de la croix des rotateurs, souvent, c'est une instabilité de l'homoplate par rapport à la cage thoracique et une mauvaise extension thoracique. Si tu fais du quad pat, c'est que tu as de l'extension, tu as de la stabilité scapulaire, puis en plus, t'as toute ta coiffe qui est obligée de te stabiliser en plus avec ton homme à plantes. Juste de décortiquer ce concept-là, tu viens de faire tous les sports. [00:19:18] Speaker A: Je parlais de ça hier avec un ami que tu connais bien, Pat, coach Pat au Centaure. Justement, la coordination, on parle des hauts-lines, mais les hauts-lines, il y a quatre pattes. Si on s'entend que les autres ont trois points d'appui ou les D-lines. [00:19:35] Speaker A: Si t'as pas de la stabilité dans ça pis dans ton épaule pour maintenir tout ton poids qui est tout tranversé là pis qu'on s'entend que les D-Line pis les O-Line c'est pas des types bonhommes. Pis en plus des fois c'est des gens, aussi quand on commence si on regarde la catégorie de, t'sais à Tom exemple comme mon garçon. [00:19:54] Speaker A: C'Est pas ceux qui sont les plus stables parce qu'en plus le sport va, une chance qu'il y a le football pour ces gars-là. Parce que c'est pas nécessairement les plus athlétiques à la base. Fait que si on les rend plus athlétiques et on les rend plus stables. [00:20:09] Speaker A: Ça se peut qu'ils ne restent même plus online, ils vont devenir des receveurs, ils vont peut-être devenir là avec la poussée de croissance, puis la puberté, puis tout. [00:20:16] Speaker B: Ça. Puis ça. [00:20:16] Speaker A: C'Est une autre affaire aussi. Oui, c'est ça. Donc, ta stabilité va primer sur tout le reste. Oui, ce n'est pas sexy, mais tous les sports devraient baser beaucoup plus de temps là-dedans. Puis après ça, on met un petit peu de tempo, puis de vitesse, puis on spark ça un peu aux couleurs. Puis pourquoi tu fais ça? Et pourquoi c'est transférable dans tel et tel sport? J'ai juste parlé du quatre pattes. [00:20:39] Speaker B: Puis on a fait au moins cinq sports. Ouais, non, c'est ça. Impressionnant. Ça me fait un peu penser un peu... Quand ils disent que quand t'es jeune d'essayer de pratiquer plus qu'un sport, ça me fait un peu penser à ça. C'est ton coach qui te dit que tu devrais juste jouer au football quand t'es en R3, ou je sais pas, plus jeune que ça encore. S'attendre de jouer au basket. [00:21:04] Speaker A: Vas-Y. Tu vas développer. [00:21:05] Speaker B: Des choses qu'au football, tu ne développerais pas. Là, tu vas le pratiquer, mais pas en salle, en jeu. C'est différent, mais c'est cool la façon dont tu l'amènes. Parce que moi, maintenant, vu que je suis à l'extérieur du sport, je le regarde d'une vision spectateur. Tout ça, j'aime ça l'amener dans la vie de tous les jours. Maintenant, j'ai frappé le mur, il y a une vie après le sport. J'aime ça voir que... c'est des choses qui peuvent te permettre de te sentir mieux juste dans ton corps de base. Parce qu'une fois que tu as fini le sport, quand tu t'entraînes, est-ce que tu as encore besoin de squatter quatre plaques? Je ne pense pas. Mais au moins, si tu es stable, tu as une bonne posture, la façon dont tu l'amènes, je pense que juste ça, ça peut permettre à ton corps de. [00:21:59] Speaker A: Vieillir plus lentement, si je peux me permettre. Souvent, je travaille avec des personnes âgées aussi. Oui, j'ai un milieu sportif, mon background, mais là, tu es sûr que tu veux travailler avec moi parce que là, je ne suis pas un athlète. Non, on travaille tous avec le même corps humain. Je suis spécialisé aussi dans tout ce qui est lombage chronique. [00:22:21] Speaker A: J'ai des cas très vieux aussi, puis j'ai des cas très jeunes aussi. Mais l'avantage, c'est que l'aspect Comment se lever? Après un certain âge, ce qu'on s'est aperçu, c'est que c'est les membres inférieurs qui manquent de force. Après ça, on tire du dos. Parce que si ton fessier ne fait pas sa job, ça se pitche à deux places, dans ton dos et dans tes genoux. Les personnes âgées se plaignent d'eau, qui ont mal au dos et qui ont mal au genou. En plus, ils vont se compenser et ils vont pousser ses mains pour se lever. Ils n'ont plus confiance en leurs jambes. Tu ne peux pas être endurant si tu n'es pas fort. Tu ne peux pas être fort si tu es instable. [00:23:07] Speaker A: Ça revient au même concept que si on est avec un jeune. Entraîner des vieux et entraîner des jeunes, pour moi, c'est quasiment la même chose. [00:23:17] Speaker A: Parce que justement, on a la courbe et on redescend, mais le même concept de stabilisation à cause de l'expérience, puis le même concept, tu sais, le concept adapté, puis on a cheaté un petit peu plus les cohérents à ce moment-là, puis à l'inverse, on cheat les cohérents parce qu'on n'a pas assez d'expérience. Ça, c'est la partie facile. Tu sais, les athlètes de haut niveau, puis etc., parce qu'on travaille sur des infimes petites choses. Mais les jeunes et les moins jeunes. [00:23:55] Speaker A: Ah, mais j'ai toujours fait ça de même. C'est peut-être justement à cause que t'as toujours fait ça de même que t'as cette problématique-là. Parce que t'as oublié des fois des bases, etc. Pis là, on s'assoit, pis là on tombe plus sédentaire. Qu'est-ce qu'on fait? On travaille, on est assis, on finit, on écoute les nouvelles, on s'assoit à la table, on fait ci, on fait ça. Fait que là, nos flécheurs, les hanches, le raccourcissement du long. [00:24:25] Speaker A: Du tendon rotulien, etc. Le droit fémoral, on se lève et ça c'est plus court. Quand on est jeune, qu'est-ce qu'on fait? On est plus assis parce qu'on est moins mobile. Là, on est plus sur les jeux vidéo. On est à l'école et après ça va faire du sport. C'est la même chose. [00:24:48] Speaker A: Un, son fessier est endormi. L'autre, il n'est. [00:24:54] Speaker B: Pas encore activé. [00:24:57] Speaker B: Ça revient au même concept. Non, c'est vrai. Ça me fait un peu penser à... Aussi, quand tu vieillis. [00:25:10] Speaker B: Tu viens que tu bouges moins. Tu es un peu moins actif. Ça, ça peut peut-être jouer. Pour te donner un exemple. [00:25:20] Speaker B: Est-ce que les différents trainings peuvent avoir un impact là-dessus? Je te donne mon exemple. Depuis que j'ai arrêté le foot, je ne m'entraîne plus comme un joueur de foot. Je ne m'entraîne plus pour pousser du gros poids et être fort. Je ne m'entraîne plus pour me sentir bien dans mon corps. Sauf que tu vois, ça fait, mettons, deux ans, presque trois, que j'ai arrêté le foot, puis que je m'entraîne plus spécifiquement, puis j'essaie de faire plus attention. Mais tu vois, j'ai, depuis un bon bout, je vole plus dans le contrôle, mais plus de rep, mettons. Fait que là, je me mets dans, mettons, 8 à 10 reps, puis là, j'essaie de jouer là-dedans. Sauf que j'ai l'impression des fois que c'est que ça fait tellement longtemps que je fais ça, que là. [00:26:05] Speaker A: Tu vois, je t'arrête de me scrapper encore. [00:26:09] Speaker A: Ça peut dépendre de divers facteurs. Ça dépend, par exemple, si où est-ce que tu dis que tu te scrapes. Si on regarde, il y a du bon. Je pense que, comme je t'avais dit, en dehors des zones, avec le football, maintenant, je suis revenu dans mes vieux parce que c'était l'un des premiers groupes d'athlètes avec lesquels je travaillais dans le temps. L'avantage, c'est qu'au stade, le meilleur préparateur physique, c'est souvent ceux qui travaillent avec le football. Ils voient tous les types de physique. [00:26:48] Speaker A: Tu as besoin de tout. Tu as besoin de coordination d'œil. Tu as besoin de force brut, à la « strongman » avec les « D-line » et les « O-line ». Tu as besoin de coordination, vitesse, agilité avec ces positions-là aussi, avec les demi-défensifs, avec les running backs, etc. Il faut qu'ils soient prudents et forts, etc., la coordination. Tu as des joueurs qui doivent être un peu plus avancés et souples comme le corps arrière. Tu as de la diversité. C'est eux qui ont les plus grands outils. Tu sais, de t'entraîner un peu de force, d'entraîner un peu d'entraînement mixte, Et ici, je n'ai pas dit l'entraînement crossfit, l'entraînement mixte. Ça amène de tout. C'est souvent moi, mes personnes âgées, j'appelle mes masters, les 40 ans et plus, parce que je m'inclus là-dedans aussi à 41, de réapprendre à travailler ça, puis des gestes fonctionnels. Quand tu vas faire ton abritempo ou quand tu vas gratter, etc., tu n'auras pas mal parce que tu n'auras pas juste le pectin qui est gonflé et le bicep qui est tendon irrité parce que tu vas avoir fait plus de gouttes. Tu vas avoir le bicep curl and press, mais c'est que tu lèves ta boîte et tu l'as mis sur l'étagère. [00:28:12] Speaker A: Puis, combien de choses que tu vas faire? Par exemple, la boîte est vide et tu la descends. Qu'est-ce que tu fais après? Là, on est à l'automne. C'est quoi que tu fais après? T'apprends à l'autre, t'as 5 en haut, mais tu le fais une fois. T'as bien plus la rep, t'es plus proche d'entraîner en force que d'entraîner en hypertrophie fonctionnelle, le 8-10. T'es bien mieux de travailler dans des zones de 5-7-9 rep, puis de jouer aussi dans l'ouverture thoracique, parce que le 2-3-10 temps, t'es le même, t'es à l'école. t'es. [00:28:52] Speaker B: En train de faire du montage vidéo, etc. que de faire juste des guns. « Ouais, je comprends, ça fait du sens. » Ça, c'est vraiment par pure curiosité. On veut tout hijacked. Y'a-tu moyen d'être... Dans ces types de training-là, le but, c'est de bien se sentir, la base. Mais quand t'es jeune et que t'es. [00:29:22] Speaker A: En pleine forme, avant 30 ans, y'a-tu des façons de devenir hijacked avec des trainings normales? [00:29:28] Speaker A: Je prends l'exemple, le push-up, c'est niaiseux parce que j'ai arrêté de compétitionner quand même. J'ai joué les Masters cet été, mais éventuellement, je vais dire que je n'ai jamais eu de chess dans la vie. J'ai un collègue, lui, il coache du fitness et des compétitions, etc. mais on a essayé juste de voir si mes épaules ou mon bec s'engageaient dans un push-up. [00:30:04] Speaker A: Le push-up, je n'ai jamais été autant raqué par l'étirement fonctionnel, etc., un tempo lent qu'un push-up. C'est le temps de mise en tension et la pompe que tu vas avoir qui va t'aider aussi dans ton push-up. Puis l'étirement qui va t'aider aussi pour le recrutement. Ce qui s'étire en premier, s'active en premier. Donc si tu vas chercher ça, ça va l'aider. Mais ramène-le comme ça. Le push-up, c'est l'exercice le plus fonctionnel du haut du corps, entre autres. C'est le squat du haut du corps, comme le chin-up et le reverse row. Juste faire ça. Rappelle-toi, un reverse row, tu maintiens l'isométrique pendant 10 à 20 secondes et tu viens de faire de la pompe dessus. Peux-tu avoir de la pompe dedans? Fais-toi sur moi que tu peux en avoir. C'est le même concept. Si le push-up, en plus, tu viens recruter et tu viens les tirer. [00:31:03] Speaker A: Tu t'en fais bien et ton glissement scapulaire se fait bien. je peux faire bien plus du push-up pour mon corps arrière ou ma position X, Y ou ma personne en G parce que c'est des abdos. [00:31:15] Speaker B: C'Est du core, c'est du glissement scapulaire et c'est de la force du haut du corps. [00:31:22] Speaker B: Mettons, tu as-tu besoin de faire, comment est-ce qu'on appelle ça déjà? [00:31:30] Speaker B: Genre « deflection. [00:31:32] Speaker A: Push-Up », quand ça s'appelle, tu sais, mettons, tu mets des « box », puis tu t'en vas au ranch. Ben oui, c'est ça, « déficit push-up ». Tu peux faire les déficits. Moi, je le fais avec des « dumbbells » ou etc. Tu as juste besoin d'un petit peu de plus, puis après ça, tu joues sur les tempos puis la variation. Tu n'as pas besoin d'aller chercher de midi à 14 heures. Il n'y a aucun plus que les bonnes vieilles méthodes, je vais dire « vintage », ou archaïques sont revenus avec la COVID. Comment s'entraîner quand t'as pas de gym, quand t'as pas ci, quand t'as pas ça. [00:32:04] Speaker A: Autant. [00:32:04] Speaker B: Pour les athlètes que les non-athlètes, c'est des mouvements qui sont venus en... [00:32:12] Speaker A: La première chose, les gymnastes masculins. [00:32:16] Speaker B: Aux anneaux. [00:32:16] Speaker A: Sont-Tu jacks ou pas jacks? Ah non, ça c'est... Ils sont énormes. Ils ont des épaules, mon gars. Penses-tu qu'ils font juste du bench? Probablement pas. Ils font du kénesthénie. [00:32:30] Speaker A: Fait que de bien faire ça, t'as un avantage là-dedans. J'ai un de mes anciens coéquipiers de volley qui est rendu mordu là-dedans, puis je l'entraîne à distance là-dedans. On a du fun à se retrouver des trainings de qu'est-ce qu'il fait, puis on l'amène là-dedans avec des anneaux, avec ses défis personnels, puis comment on peut augmenter un muscle-up parce qu'il manque de force, etc. Puis on utilise, oui, les poulies, les machines, etc., mais on va travailler sur les comme d'aller chercher un peu plus de lats dans une position, ou faire le lat pulldown avec légèrement crèche pour aller travailler un peu plus sa transition d'ici à là. Il y a plein de manières de. [00:33:16] Speaker B: Le faire. [00:33:18] Speaker B: En protégeant son épaule aussi, parce qu'il a eu des blessures aussi. On fait juste modifier ces concepts-là et ça revient exactement au même. Peu importe le niveau d'athlète que tu es. [00:33:35] Speaker B: C'Est dans les petits détails. Même les athlètes olympiques se concentrent sur... Ils n'ont pas besoin de faire des trainings les plus exotiques au monde. Ils vont juste se concentrer sur ces petits détails. Ce qui m'amène à demander... Justement, pour être en top, pour être un athlète olympique, vu que t'as goûté aux jeunes, t'as goûté à des gens plus. [00:34:02] Speaker A: Vieux, les masters comme tu les appelles, puis t'as goûté à des athlètes professionnels, qu'est-ce qu'eux, les athlètes professionnels, font de différent que les autres athlètes? [00:34:15] Speaker A: Ça dépend. Tu sais, j'ai travaillé avec différents groupes aussi, puis c'est différentes mentalités. Puis, si je regarde un groupe avec ceux de la NHL, avec ceux qu'on a travaillé pendant un temps, on mettait beaucoup d'emphase sur la force, sur l'équilibre, sur des durées d'efforts aussi. Donc, les joueurs de hockey, c'est la capacité à péter des sprints aussi. Il y a de l'endurance, etc. On jouait là-dedans, mais en même temps. [00:34:53] Speaker A: La saison morte pour les joueurs de hockey est tellement courte. C'est une chose. Si on regarde au tennis, il n'y en a quasiment pas. Ça fait que c'est des périodes. Si on regarde pour le kayak, ça dépend. Ça dépend s'ils vont faire des camps d'entraînement, etc. Le ski, j'en ai deux que j'entraîne en ce moment. qui là sont partis à l'extérieur pour trois semaines, mais je les ai commencé seulement à la période scolaire, donc je n'ai pas fait grand chose avec eux. Mais après ça, l'hiver, c'est la saison. [00:35:27] Speaker A: Puis après ça, je vais avoir une saison d'été qui va être un peu plus, mais là, je viens de commencer, donc la période d'été va être meilleure. Puis là, le foot, encore là, on revient au foot. Eux autres, ils ont le meilleur des deux mondes. [00:35:40] Speaker B: T'sais, ma gang de. [00:35:42] Speaker A: Volleyball, par exemple, ils jouent au volleyball intérieur, au volleyball de plage pendant l'été, le championnat canadien arrive à la fin août. Ils sont jamais arrêtés. Du colère. Indoor. Bang! [00:35:53] Speaker A: Fait que là, ils n'ont pas eu de stress tendineux parce qu'ils ont joué au beach tout l'été. Là, Pérestit embarque. Bam! Parce qu'il y a des coachs qui les font sauter parce qu'ils essaient de rattraper le temps pour ceux qui n'ont pas joué au volley ou vice-versa. Puis là, il y en a qui arrivent de deux jours aux semaines à cinq ou six jours aux semaines. Puis là, c'est des deux heures à du trois heures. Fait que là, il y a des sauts, il y a des sauts, il y a des sauts. Puis la moitié, on fait soit la même affaire pour les Jeux du Québec comme cet été. Puis tu sais, il y en a plusieurs que j'ai vues quand j'ai commenté les Jeux du Québec cet été à Trois-Rivières. Fait que je les ai vues. Puis là, je les revois cette année. En plus, parce que j'ai repris la préparation physique de la Gagne de Molay. Ils n'ont pas eu de break. Fait que si tu regardes le foot, la saison au printemps, je trouve qu'il est mieux distribué. Puis là, ben, tu vas avoir les bols d'or qui vont arriver bientôt. Fait que fin novembre, ils vont prendre off jusqu'en décembre. Puis de décembre au camp de printemps, ils ont du off. Là, t'as une mine d'or. T'as du temps. C'est pas tous les sports qui ont le luxe d'avoir du temps. Les hockey, c'est la même chose. Ils font les playoffs, ça finit avril-mai, puis les camps d'entraînement, les camps de sélection de tout. J'en ai une, c'était une goaler pour le programme national. Je pense que j'ai réussi à l'avoir quatre fois. Parce qu'elle avait des camps, puis elle a essayé d'aller à BC, elle est allée après ça, puis après ça, elle est allée au Québec. J'ai pas pu faire grand-chose. [00:37:33] Speaker A: Dépendant de ce qu'on veut faire, les jeunes ou autres, on travaille sur des temps, sur des momentum, sur les forces, les faiblesses que l'athlète a. Pour répondre à ta question, ça dépend. Des athlètes olympiques, j'ai travaillé avec des athlètes de l'équipe nationale, j'en ai un qui habite à Toronto, on faisait des distances. Quand il est arrivé ici, pendant le décembre, quand il venait dans sa famille ici, Simon Fecteau-Boutin. [00:38:03] Speaker A: Je l'avais pendant 3-4 jours. On faisait des fois des entraînements doubles. On faisait un gros entraînement. Puis après ça, il repartait à Toronto avec l'équipe nationale. Puis là, je redonnais ses premières pour là. Puis là, finalement, j'ai un tournoi à Mexico au Mexique pour deux compétitions. Puis là, on repart. Fait que la programmation chez les athlètes, il faut déjà qu'il soit la base chez les jeunes. Toute la programmation d'avant, on parle de 10 000 heures de préparation pour être C'est tout ce temps-là. Ce n'est pas juste sur le temps terrain. C'est le temps de préparation physique qui est dans les 10 000 heures aussi pour justement arriver à être apte à travailler juste sur des détails quand tu es « on-off ». [00:38:52] Speaker A: Je ne sais pas si ça répond bien à ta question, mais je trouve que ça a une bonne essence vraiment de voir que tu ne fais pas grand-chose. Des fois, il t'a manqué quoi? Plus de puissance, etc. Parfait. Stabilité est bonne. Des fois, quand tu arrives, tes voix, c'est juste réparer les bobos. Tu as trois mois, tu mets de la force, on veut de la puissance, etc. As-tu pris de la saison morte? As-tu la recovery? Les gars de hockey, c'est cinq, six jours. J'ai voyé en masse, en plus que le préparateur physique, en préparation physique, faisait de la natation comme recovery cardio, puis après ça, on jouelait toutes ces affaires-là. Pas spécifiques parce qu'on veut faire du multisport, même avec des athlètes de haut niveau, mais des choses qui vont être comparables, qui vont les aider pareil, sans trop de stress tendineux parce qu'ils en ont eu. [00:39:39] Speaker B: Tellement, puis ils arrivent, ils ont été blessés, etc. Fait que là, on a tout ça. Chaque cas est différent. La réponse, la vraie réponse, c'est la détente. C'est quelque chose que je ne m'attendais pas à ça. C'est vrai qu'en plus de goûter avec tous ces sports-là, qui ont tous des horaires tellement différents, mais il n'y a pas longtemps que j'ai parlé avec Mathieu Betz, et il y a une affaire qu'il m'avait dit. [00:40:10] Speaker B: La différence, peut-être, que moi j'ai avec les autres, c'est... Écoute, même quand ça me tente pas, j'y vais, t'sais, puis je m'en vais au gym, puis je pousse pas à mon max à toutes les fois que j'y vais. Je fais juste travailler sur... Des fois, je fais une séance, puis c'est juste de la mobilité, mettons. Mais au moins, je suis allé dans le gym, puis j'ai fait de quoi, t'sais. Ça m'a comme mis en perspective de voir peut-être les meilleurs qui sont juste plus soucieux de leurs détails, de certains détails que les autres pensent que c'est pas important. Il y a un signe qui dit « champions don't skip a day ». Je pense que ça a peut-être une corrélation avec tout ça, mais c'est quoi tu dirais aux athlètes? C'est un peu comme ta goaler que tu as. [00:40:59] Speaker A: Vue quatre fois. [00:41:02] Speaker A: Pour les athlètes qui ont moins de temps ou qui sont tout le temps en partie, quand ils ont le temps de s'entraîner. [00:41:09] Speaker A: Sur quoi tu travaillerais? [00:41:11] Speaker A: Ça dépend. C'est quoi qu'on a besoin. Ça dépend de l'athlète. Elle, on aime autant la mobilité de la hanche, etc. On ne veut pas la perdre, on veut travailler sur sa force. Elle avait une certaine hyperlaxité. Moi, c'était sa stabilité en premier. Pour les hanches, etc. Puis sa force au niveau des fessiers pour ses changements de direction gauche-droite. On va réaliser ça. [00:41:40] Speaker A: Et le corps. Ça, c'est un cas pour elle. Après ça, il y en a d'autres. Si je ne t'ai pas vu pendant 4-5 semaines, on va rebuilder ta force aussi, parce que la force est la mère de toutes les qualités. [00:41:58] Speaker A: S'il n'y a pas d'instabilité et que ça va bien, on va regagner ta force, parce qu'on va stimuler ton système nerveux à un certain niveau, mais plus les muscles à un certain «prime». Justement, après ça, quand tu vas repartir, tu vas être capable d'aller le chercher, mais ça dépend aussi. S'il arrive, puis il est fatigué, puis son test de préhension, il est shutdown, puis que son vin lit va l'air trois fois plus lourd que d'habitude, bien, c'est pas sa force que je vais travailler. C'est parce qu'au bout de la ligne, je reste encore plus le shutdownné, puis c'est là qu'on va tomber dans une autre sphère. Autant que si tu lances tout le temps des ballons, pis t'arrives avec une douleur à l'épaule. T'sais, j'ai Éliott Drapeau, qui est à McCurry en ce moment. Puis justement, à un moment donné, j'ai des rencontres avec lui aux deux, trois semaines à distance. Puis justement, à un moment donné, il avait mal à l'épaule, puis etc. Il y avait eu un gros training. Puis on a juste revenu sur ses bases. OK, mais t'as-tu fait ta batte? T'as-tu fait ça? J'avoue, j'avais moins d'études. J'avais plus d'études. Je l'ai moins fait. Puis là, on a fait certains tests. Puis il y avait de la douleur un petit peu dans l'épaule puis dans le coude. On a fait des trucs. Puis finalement, il a battu la Californie qui venait de battre, je pense, Tu me diras si je me trompe, mais je pense que c'est Tyler Lyon, je pense, ce gros podcaster, l'instagrammeur superstar, qui s'était fait battre par la Californie, puis que finalement, Elliot a battu cette équipe-là après, comme trois jours après, parce qu'il n'avait pas eu mal à l'épaule. Ça a bien été. On a juste revenu sur des bases. Ça peut être juste revenir sur des affaires de mobilité, de base, des trucs, puis ça repart. À l'inverse, où est-ce que... Je vais commencer à travailler avec Victor Charland, le deuxième carrière du Rouge et Or. Là, il s'est blessé à son poignet, mais quand je vais le voir après la saison, il y a de bonnes chances qu'on va revenir juste sur les bases. [00:44:03] Speaker A: Parce que, un, est-ce qu'il va être capable de lancer ou etc. Tout ça, parce que malheureusement, il est tombé sur son poignet de lancer. Je ne sais même pas comment il va m'arriver. [00:44:16] Speaker A: J'en ai un que je vois vendredi, c'est un corps arrière des panthères. [00:44:20] Speaker B: De Méricie. J'ai su entre-temps qu'il. [00:44:24] Speaker A: Y avait une prothèse au pied. [00:44:28] Speaker A: Je ne sais même pas comment je vais faire la tâche. Ça dépend toujours de cas par cas. Surtout quand tu. [00:44:34] Speaker B: Es dans l'entraînement. Ça dépend à quel moment je les vois dans cette période-là, c'est quoi que j'ai besoin de faire et dans quelle période de l'année je le vois. Non, exact. Surtout dans l'entraînement, un peu plus personnalisé, comme qu'est-ce que tu fais. C'est sûr que ça a un... Bien, vu que c'est personnalisé, t'es beaucoup plus en détail. Mais encore une fois. [00:44:58] Speaker A: Tu parles tout le temps de la base, revenir à la base. Souvent, la base, c'est l'affaire la plus plate. Mais, Griff, c'est le plus important. T'arrêtes pas d'en parler. C'est ça, parce que l'affaire, le transfert, va se faire. [00:45:11] Speaker A: Les drills de foot ou les drills de voler ou etc. sont faits de coordination, sont faits d'agilité. Dans le sens où, je me rappelle que dans mon temps, moi j'étais passeur, je devais sprinter de ma position pour aller au filet, puis je devais sauter puis passer. Puis après ça, je devais me rendre à une autre position, je devais retourner à la même place, on faisait un genre de circuit agilité cardio. Mais c'était ça, c'était du stop and go dans ces positions-là. Pourquoi je devais faire faire en plus dans le gym? Un de mes amis, Mike Chagnon, justement, il a fait un poste dernièrement pour les jeunes puis l'entraînement. On parlait du multisport. Bien, avec l'horaire que les jeunes ont, moi j'ai enlevé mon fils du basket cette année, puis il est très beau au basket, il l'avait mis comme monteur, il a été pris dans la première équipe, puis etc. Mais il arrivait à 7h30, il va lui faire faire des devoirs s'il a de la difficulté à l'école ou etc. C'est pas mieux. Fait que tu sais, si je travaille la coordination, puis je travaille des choses qui vont ressembler à ça dans le gym, là ça a un impact parce que là, chose sur son multisport qui va lui prendre plus de temps, parce que là, je veux gagner du temps pour ses études. Mais si on regarde de l'autre bord, si en plus, c'est en concentration, sport, études, ben, tu sais, que ce soit au volet, par exemple, parce que je connais plus ça, j'ai coaché pendant 7 ans, pendant 10 ans. Mes drills étaient faits en fonction que j'avais de l'agilité, donc j'ai pas besoin de faire de l'agilité en plus quand je les avais en fitness. Mais par contre, je leur montrais à monter d'une chaise à une jambe, je leur travaillais de la force ou des choses comme ça qui vont être transférables au volet. Puis en plus, je préviens les blessures parce que là, je vais avoir travaillé jusqu'au jambier, je vais avoir travaillé les fessiers, je vais avoir travaillé des choses qui sont transférables dans ce que je fais parce que mon drill, par exemple, j'avais un coach qui nous avait fait faire des drills d'échelle. Jeu de pied, jeu de pied, jeu de pied, jeu de pied. faire des passes. Fait que là, au foot, t'as quoi? T'as les mats au sol, puis tu fais des zigzags à l'entour, tu fais des chassés, tu fais des high knees, puis tu fais des press. Bien, je vais te rendre apte à faire ces drills-là. Parce qu'au bout de la ligne. [00:47:40] Speaker A: Je t'ai fait au tennis. Tu fais te lancer une balle, tu dois te déplacer en chassé, tu dois te placer en circuit ouvert pour pouvoir frapper la balle. Après ça, tu refermes et tu pousses. [00:47:52] Speaker A: Là, tu as ton agilité. À moins qu'il y ait vraiment un « ankle break » à chaque fois qu'il fait un pas. On va l'adapter en dehors du circuit pour que tu sois capable de faire le circuit. [00:48:05] Speaker A: Je ne sais pas si ça a un sens, mais pour moi, en tout cas, ça en a, parce que c'est de la base. C'est d'apprendre à marcher avant de courir. Si je te mets à courir dans ton sport, je vais t'amener à être apte à courir. On va sortir le contexte de course, regarder comment tu cours, regarder comment tu. [00:48:22] Speaker B: Fais, pour qu'après ça, quand je te remets à faire le drill, tu ne te blesses pas et. [00:48:26] Speaker A: Tu sois capable d'aller chercher le plein potentiel de ton drill avec tes coachs. Est-ce que l'entraînement, à ce moment-là, c'est plus un complément au sport? Je pense que oui. Les deux. [00:48:46] Speaker A: Des fois, il y a certaines pauses. Le père d'un de mes joueurs de tennis, Samuel Pelletier, vient de revenir de deux semaines au Mexique. Avant ça, il était dans une compétition ici à Québec. Il y avait le championnat à Toronto. Avant ça, il était à Punta Cana pour deux compétitions. Tu vois, c'était deux semaines. Deux semaines, plus une semaine, plus deux semaines. Je ne l'ai pas vu pendant six semaines. Là, je vais le voir deux fois par jour. Pendant peut-être le bloc avant qu'il reparte en tournée. Mais on. [00:49:19] Speaker B: Ne va pas. [00:49:19] Speaker A: Travailler sur ces événements-là. Son père a décidé que c'était le fitness qui était le plus important que le tennis. Il a fait ça pendant un mois et demi. Oui, c'est ça. [00:49:32] Speaker A: Pis t'as d'autres parents ou d'autres personnes qui choisiraient bien plus, ben là, on va travailler encore plus du tennis. [00:49:40] Speaker A: C'est là que c'est plus juste un complément, ça peut devenir l'entraînement. Parce que justement, t'as fait en masse de tennis. [00:49:51] Speaker A: C'est ça, tu lances, lances, lances, lances, lances, mais tu ne fais pas de stabilité d'épaule, tu ne fais pas de coiffre, etc. Il y a des bonnes chances que tu aies le maillot de coude. J'ai eu un ex-coeur arrière du Mexique que son femme a contacté. Puis lui, il va une fois par mois au Texas pour faire des camps d'entraînement, etc. Puis tu sais, c'est trois, quatre jours. Puis il m'arrive, puis mon gars a mal aux coudes. OK, qu'est-ce qu'il fait? Bien, il fait du crossfit, il fait de la physio à tous les jours, il lance 30 balles par jour, puis il a mal aux coudes, puis etc. Mais il n'y avait pas de rotation de hanche, puis il avait le grand dorsal qui est limité. Fait qu'il était déjà en rotation comme ça, puis il n'y avait pas de rotation de hanche. C'est sûr que s'il veut lancer plus fort, Il va overthrow du coude, parce qu'il n'a pas de rotation de hanche, donc il n'a pas de poussée de sa jambe pour. [00:50:44] Speaker B: Aller rentrer dans. [00:50:44] Speaker A: La balle pour pouvoir laisser aller son bras. Le bras est supposé être à ce moment-là une catapulte. Tu n'es même pas supposé être le protagoniste de le lancer. Oui, je. [00:50:56] Speaker B: Comprends. [00:50:58] Speaker B: C'est tout l'aspect élastique de ton tronc, tes hanches et tes abdos qui vont venir lancer la balle. [00:51:05] Speaker B: Fait que c'est comme ça qu'on a vu qu'il y avait cette problématique. [00:51:10] Speaker B: Fait que, mettons, pour bandiser là-dessus, est-ce que c'est une des raisons. [00:51:18] Speaker A: Pourquoi les épaules, les genoux, les coudes, ce que tu travailles, les hanches. [00:51:26] Speaker A: C'Est à cause de ces raisons-là que justement. [00:51:31] Speaker A: C'Est problématique pour les athlètes, pour les jeunes, mettons, en grandissant. Parce qu'il y a l'enfant en plus en grandissant, fait que toute la coordination change. Tu sais, je prends l'exemple de mon garçon, encore, il va détester ça à chaque fois, je vais lui dire « ouais, mon garçon lui… » Tu sais, c'est parce qu'en même temps, c'était mon laboratoire improvisé, parce que t'as fait « tu veux faire ça, mais tu vas le faire à ma manière ». C'est parce qu'il m'imitait, parce que surtout pendant la COVID, on a passé plus de temps ensemble, etc. Il voulait faire de l'altéro, etc. On avait mis un manche à balais avec deux du livre. On a travaillé là-dessus. On était dans la coordination, etc. Mais il y a une vidéo où est-ce que j'avais posté. Il fallait qu'il apprenne la position de la barre. Ben, mes pieds sont en dessous de ma barre. Position en grenouille, le dos droit, la tête en avant. Puis là, il vient de se placer sur la barre, il était tout croche. Hé, la position en grenouille. Parfait. Là, il était là. Parfait. Hop. Puis là, tu vois, oui, il a grindé un peu à ce moment-là. Il faisait un snatch quasiment plus clean que moi. Il avait 5 ans. mais c'était juste des trucs comme ça. Puis après ça, il faisait des front squats plus clean que des adultes, avec les coudes super hauts, avec sa manche à balais, puis il descend en squat. Je pourrais t'envoyer des photos si tu veux voir la comparaison, tu vas voir. Il est hyper clean. [00:53:09] Speaker A: Mais quand je l'entraînais, quand j'entraînais mes athlètes olympiques ou Simon Factot-Boutin, d'équipe nationale. On sortait au gym, je faisais faire le training à Simon, puis mon fils sortait les steps, les échelles, les ci, les ça, puis il faisait son parcours, puis il s'amusait, etc. Je le laissais faire. Tu sais, je voulais montrer d'autres affaires. Non, non. Il voulait juste faire ça. Parfait. L'aspect ludique était là. [00:53:35] Speaker A: Puis après ça, il était rendu apte à faire différentes choses. Ça revient à ce que tu disais. C'est une complémentarité, mais en même temps, le fait qu'il est capable de le faire. Puis après ça, ben... « Hey, comment ça, il est capable de lancer la balle lui-même? » Puis, tu sais, Myers de QB Movement, au début, il était comme pas trop sûr. Puis il l'a vu lancer, puis il a dit « OK, il est legit. » C'était le plus jeune dans le groupe. [00:54:03] Speaker A: Puis après ça, ben, il y a des parents qui me demandaient comment ça, il était capable, etc. Puis, il me semble, mon gars, il a quelque chose qu'il s'est emporté parce que là. [00:54:13] Speaker A: Elle s'est désistée avec d'autres parents. C'est parce qu'elle regarde son pied, elle frotte ou son pied, elle lâche, etc. Donc là, on est parti avec les mini-centaures, le même concept. Les jeunes, avant qu'ils lancent avec Coach Sam. [00:54:29] Speaker A: Les techniques de lancer. Moi, j'ai une heure où on travaille certaines stabilités de chevilles, de hanches, de mobilité thoracique et de stabilité d'épaule. La première année, de faire des quatre pattes, les kids ne comprenaient pas. Le swim, passer par-dessus des pods ou de passer une. [00:54:54] Speaker B: Balle de tennis d'un bord ou de la balle de tennis de l'autre bord. ils trouvaient ça dull, ils ne comprenaient pas pourquoi c'était efficace pour un carrière. Tu regardes les réseaux sociaux, à Star, c'est juste de tout ça. C'est tellement plus une science que je pensais, tu sais. Surtout que... En fait, moi, je pense que t'sais, on n'est pas vraiment pensé, on n'est pas vraiment coaché à penser à ça, dans le sens que t'sais, nous, on se pointe, puis on. [00:55:19] Speaker A: S'Attend juste à faire le training qui est là, mais t'sais, on a encore une grosse mentalité de juste pousser du gros poids, puis être fort, puis ça va venir avec, mais ça va tellement plus loin que ça, là. [00:55:34] Speaker A: Moi, c'est ça que je veux faire. Mon objectif, puis avec le concept, comme on disait, les athlètes orphelins, comme les O-Line et les D-Line à bas âge, parce qu'ils n'ont pas d'exemple, ils n'ont pas de stabilité, etc., mais c'est de travailler ça. Ça a tombé où est-ce que de l'autre bord, je ne m'attendais pas à travailler avec des O-Line, parce que d'habitude, je travaille avec des joueurs d'épaule comme les quarts arrière ou les joueurs de tennis, mais en réalisant ça, je me suis aperçu que ça a beaucoup de sens de l'amener à tous les sports. C'est pourquoi une position, plus que toutes les positions. Puis après ça, qu'ils aillent faire n'importe qui, les machines, machins d'e-learn, tant mieux, parce que moi, je vais juste avoir fait prep pour que tu sois le best là-bas, pour aller faire le combine, shit, machin, trucs, prep, d-line, puis peut-être je vais me faire haïr parce que qu'est-ce que je viens de dire là, mais d'autant plus, bien mieux, il va être des studs rendus là. Parce que c'est cool d'avoir des studs, mais je préfère bien plus celui qui va travailler, puis le hard worker, tu sais, il y a une bonne expression qui dit, hard work beat talent when talent doesn't work. Fait que le jeune qui a de la coordination, puis habileté, puis etc. en croissance, puis avec ses poussées de croissance. Le gifté jeune, ça veut pas dire qu'il va avoir une poussée de croissance qui va être aussi haute. Puis à l'inverse, c'est là que je revenais avec mon fils. Il était super bon là. Je déménage à Beauport. On a notre gym, on a tout à la maison. Il arrive pour faire un deadlift, mais il avait poussé deux, trois pouces. Puis tu regardes mon fils, il est super petit encore, mais t'es pas sûr que j'ai dit ça. La coordination, il avait grandi ses pieds. Ses pieds, ses repères n'étaient plus là. On a fait, au lieu d'apprendre à faire du deadlift sur boxe, parce qu'on avait essayé de le rehausser pour qu'il soit à la bonne hauteur pour aller chercher ça. [00:57:39] Speaker B: On a. [00:57:39] Speaker A: Juste mis à genoux les talons-fesses, un genre de « Japanese sit » qui va prendre un dumbbell et qui relève-toi par tes hanches. On a repris le patron moteur pour qu'il soit capable de faire ce qu'il faisait avant. [00:57:54] Speaker A: Aïe aïe. On est revenu aux bases avec les poussées de croissance parce qu'on n'a pas le choix. [00:58:02] Speaker A: Parce que c'est là qu'il va y avoir les tendinopathies du, pardon Rotulien, des Hutz-Gutsch-Rotter puis etc. Parce que dans le fond, t'as grandi vite, ton quad a pas pris. Puis on n'a pas repris le temps de te remettre dessus. [00:58:14] Speaker B: Là, tu vas avoir fait de la physio, tu n'auras plus de douleur. Le préparateur physique, tu ne sauras pas nécessairement où t'amener après parce. [00:58:20] Speaker A: Qu'Il y a un gap entre les deux. Romathlétique, ce que je fais, c'est lié au gap. Ce que j'ai l'air de comprendre, c'est qu'un patron moteur peut se modifier. Ça n'a pas l'air. [00:58:34] Speaker B: D'Être tant compliqué que ça à être amélioré. Puis à être ramené aussi. On parle des personnes. [00:58:40] Speaker A: Âgées tantôt, mais les jeunes, plus qu'ils savent, le cerveau se rappelle. C'est juste que j'aimerais dire que le cerveau, il apprend à être tricheur. Pour les gens, admettons, qui ne. [00:58:51] Speaker B: Savent pas, c'est quoi un parton moteur? Tu pourrais-tu l'expliquer rapidement? C'est d'être capable de faire un mouvement coordonné. [00:58:59] Speaker B: C'est vraiment, je te dirais ça, c'est un. [00:59:01] Speaker A: Mouvement coordonné, puis appris, puis qui va être plus exact qu'un. [00:59:09] Speaker A: Un triché, par exemple. Selon toi, c'est quoi les meilleurs ou le top, mettons, si t'avais un top 5 à faire, les meilleurs exercices, mettons, pour les athlètes en développement, mettons? [00:59:25] Speaker A: Ben, si on regarde un step-up, un squat, un push-up, une tirade, le fameux 90-90. Tu pousses tu sais, à 90. Puis tu fais des squats, tu fais des hip-hinges, puis tu fais des step-ups. Juste le step-up, je parlais de ça avec Coach Pat encore hier. Tu sais, le cardio pour des joueurs de ligue, dix minutes de faire des ling-ling ou des ten-ten, etc. Ils ne sont même pas capables de marcher sans avoir mal aux genoux. Mais stabilise ses pieds, puis fais faire trois minutes de step-up alterné, continu, au poids qu'ils ont, ils vont faire du cardio. [01:00:08] Speaker A: Tu comprends? Fait trois minutes de step-up, puis en plus, comme on disait, il va y avoir. [01:00:13] Speaker B: Un gros derrière. Il va. [01:00:14] Speaker A: Être rendu. [01:00:14] Speaker B: Fort. Parce que c'est un squat au bout de la. [01:00:18] Speaker A: Ligne. T'as le genou en flexion à 90 degrés, puis t'as. [01:00:21] Speaker B: Le tronc incliné. [01:00:22] Speaker A: Remets ça sur un plancher, c'est entre you and stance. [01:00:29] Speaker A: Oui. Aïe. [01:00:33] Speaker A: Ça va loin, là. C'est ça. Ça va loin. C'est juste parce qu'on y pense pas. C'est pas loin, c'est juste qu'on rend compliqués les choses simples. Exact, c'est ça. Exact. [01:00:45] Speaker A: Faire un power step-up pour un gars au line, ça va être bien plus des fois pertinent que juste de te fendre le cerveau à essayer de montrer à faire un snatch, un clean à un gars de ligne. [01:01:05] Speaker A: Fais-le en superset combiné. Là, tu vas avoir du haut de corps. Oui, tu vas aller chercher de la coordination. On va le faire comme ça, puis après ça, fais un landmine press. [01:01:13] Speaker A: Tu viens d'avoir exactement la position. Fais-le à deux. Tu vas avoir ta position, mais ne pars pas s'il y a une décoordination, un manque de force du bas du corps vers tes jambes ou le step-up. Parce que ton step-up va être peut-être ton exercice. Oui, on va l'avoir à toutes les sauces. Ça va être dull, mais fais-le en force lourde. Fais-le, continue long. Au match de foot, c'est la même affaire qu'ils vont. [01:01:39] Speaker B: Faire souvent. Fais-le de côté. Fais-le de face. [01:01:46] Speaker B: Fais-le de manière endurance cardio. Tu viens d'avoir toutes tes phases que tu as besoin pour un jeune. 100 %. Tu es aussi fort que ton côté faible. Là, tu vas le voir encore plus. C'est ça la fameuse clé, d'être autant fort. [01:02:03] Speaker A: De ton côté faible. Question rapide, est-ce qu'une bonne façon d'entraîner ton côté faible, c'est de faire des exercices que ton côté fort ne va pas affecter ton côté faible. Style, mettons, au lieu de faire du bench, tu fais du dumbbell press. Je dirais déjà ça. Dans le fond, tu arrêtes au moment que ton côté faible shot down, par exemple. Ou les pulley press en alternance, mais tu focuses sur ton côté faible en premier. Là, tu as ton mind-muscle connection. Là, après, tu vas faire ton bench, par exemple. Tu sais, de le faire soit en cluster, soit de le faire en superset avec des combos de justement d'activer celui qui est plus weak pour créer une pré-fatigue. Puis là, il va devoir aller chercher, s'activer dans un cadre bilatéral en même temps sur un bench ou même unilatéral sur un double press. Parce que tu vas avoir préactivé un peu ton weak side dans ton warm-up ou dans ton pré. J'aime introduire dans les intraposes des exercices aussi qui vont travailler ton weak side un peu plus. Puis commencer. [01:03:27] Speaker B: Par ton côté faible aussi parce que ton cerveau va être pleinement contracté avec. [01:03:34] Speaker B: Ça te donne un peu le topo. Que tu sois à toutes les positions, puis avec. [01:03:39] Speaker A: Les antirotations. [01:03:40] Speaker B: Même chose au niveau des obliques. des lanceurs, les carrières, etc. [01:03:47] Speaker B: T'es impliqué dans le QB Movement, qui est un camp qui entraîne les carrières. J'aimerais qu'on fasse un petit segment sur les carrières. [01:03:58] Speaker A: En fait. [01:04:02] Speaker A: T'sais, c'est quoi en particulier. [01:04:05] Speaker A: C'est quoi qui est particulier en fait d'un carrière? Puis dans sa biomécanique de mouvement, c'est une position que... En fait, il contrôle la game. Sans carrière, tu ne feras pas de jeu. J'aimerais t'entendre là-dessus. [01:04:24] Speaker A: Tu sais, le carrière, surtout à l'ère qu'on a maintenant, sont beaucoup plus mobiles que dans le temps de... Si on regarde, t'as Tom Brady et t'as Mahomes, par exemple. [01:04:35] Speaker A: C'est deux styles complètement opposés. T'as le pocket guy, c'était vraiment un bras, puis qui lance avec accuracy à ce niveau-là. Puis t'as Mahomes qui est capable de courir, qui est capable de lancer en même temps. On s'entend que Mahomes, je trouve qu'il est un... J'ai aucune préférence pendant tout le temps. Pas teinté pendant tout. Mais Mahomes, c'est comme un de... Tu sais, tu regardes juste le match de Bills puis les... les chiefs de dimanche. T'sais, t'as l'un qui est hyper robuste, qui va être capable de forcer fort, etc. T'as l'autre qui va être super mobile puis qui va essayer de trouver la fin pour aller se relancer. Fait que t'sais, t'as deux styles complètement à ce moment-là, mais ils ont toutes une coordination aussi. Puis si t'as regardé, exemple, le documentaire qu'il y avait eu sur NFL, ouais, c'était avec les documentaires sur les QB, ben t'sais, le style que. [01:05:30] Speaker A: Josh Allen a pris maintenant à changer parce qu'il y avait beaucoup plus de rotation de tronc pour le T-Spine, si on regarde, versus le Lean Spine. Le T-Spine avait plus de rotation, donc les hanches étaient plus fixées, puis il a commencé à changer ça quand il a commencé à jouer au golf, dans le documentaire, il en parlait un peu. Tu avais cette rotation-là qui était très similaire à ce moment-là dans sa rotation. Versus avant ça, si tu regardes les Rutless Burgers, c'était du Lean, du gros massif qui lance. Versus maintenant, il faut aussi que tu sois fluide au niveau de l'épaule, comme un lanceur au baseball, ou un joueur d'autre volé, qu'il faut qu'il soit wippy. Si tu es trop stiff de l'épaule, tu n'auras pas de rotation efficace. Au niveau de tes hanches, même chose. Il faut que tu sois aussi flexible comme un bambou quand tu te fais saquer. Il y a un peu de l'aspect quasiment ballerine. Si tu regardes, par exemple, des vidéos où tu vois Pat Maron qui est en train de se percher, il est capable d'aller chercher le stretch pour que son dos ne casse pas. C'est des trucs un peu là-dedans. Puis oui, la stabilité, la cinture scapulaire sur la cage thoracique, parce que c'est quand même une des épaules. Puis la hanche, c'est là qu'il y a quasiment le plus de mobilité dans l'articulation. Mais l'épaule, c'est une des plus fragiles parce que l'armoplate n'est pas attachée directement au corps humain. Elle est attachée par les muscles et les tendons. [01:07:00] Speaker A: Qui est à la cage terrestre. Donc, l'homme à plate, s'il n'est pas stable, il ne peut pas générer de puissance. Donc, si tu es un jeune qui a un super winging et que l'épaule est déjà comme ça, tu vas avoir de. [01:07:12] Speaker B: L'Instabilité aussi. Donc, il faut que tu te stabilises sur sa cage terrestre. [01:07:17] Speaker A: Pour pouvoir jouer avec ça, pour après ça être capable d'utiliser pleinement ta rotation de tronc vers ton flic de dark, comme dirait Miles. [01:07:28] Speaker A: Ça donne un peu ce volet-là. C'est vraiment essayer d'aller chercher toute l'ouverture, les mouvements du haut du corps. Tu parles du sol aussi. Je parlais tantôt de du pied dans le sol, tu sais, d'un gros orteil, tu es légèrement incliné sur ta jambe de puissance pour pouvoir pousser du sol, comme au baseball, quand il pousse sur la plate pour aller forcer la rotation interne de la hanche pour après ça pousser. Mais là, tu es juste dans un plus petit stance qu'au baseball où est-ce qu'ils vont te donner une grosse poussée pour extensionner encore plus leur... Mais c'est la même chose, il faut que ton gros orteil pousse, qu'il pivote pour ramener ta hanche vers l'avant pour pouvoir projeter ta balle, pour aller chercher ta dissociation de hanche et. [01:08:22] Speaker B: De tronc, qu'il va aller chercher par l'élasticité créée pour justement quelqu'un qui va venir. La vitesse est produite jusqu'au bout des doigts, mais ça porte du gros orteil dans le sol pour sucer cette hanche-là, multiplier ton tronc, l'élasticité thoracique pour lancer. [01:08:44] Speaker B: Est-ce que le fait de travailler ça peut aussi t'aider? Tu parlais. [01:08:50] Speaker A: Un peu, c'est quasiment un style ballerine. Ça reste que les personnes qui plaquent les carrières, qui ont des sacs du corps, souvent c'est des gros gars, les D-Line. Comment tu peux entraîner ton carrière à encaisser ces fameux coups de gros D-Line? C'est là que la musculature va faire son œuvre, parce que ça donne un gros coussin aussi. Mais c'est là que ton joueur qui est plus habile, il faut qu'il soit capable d'être agile pour éviter ça aussi. Ça va faire que la vitesse d'impact va être moindre, des fois aussi. Mais ça reste qu'il faut que, hauteur des épaules, tu aies une. [01:09:37] Speaker B: Bonne hypertrophie aussi, sans nuire à. [01:09:41] Speaker A: Ta mobilité. Puis tu as une bonne aussi flexibilité pour être capable de justement créer une résilience ligamentaire aux structures, que ce soit du dos ou autre. Mais tu sais, des accidents comme Jaden Daniels, ça arrive. Oui, c'est ça. Ça arrive, malheureusement. Si mon jeune du Mexique que je parlais, lui, ça a été la clavicule parce qu'il a été saqué par quatre. [01:10:08] Speaker B: Gars puis il est tombé sur son bras gauche. C'est la clavicule que... Ça arrive au hockey, c'est un sport de contact, tu peux pas l'utiliser. Il y a des règles comme le roughing the passer, etc. qui rentrent en ligne de combat. Est-ce que c'est dur pour un coréen de revenir d'une blessure, surtout quand tu parles de... [01:10:32] Speaker A: En fait, est-ce qu'il y a moyen de faire revenir un coréen, si on prend l'exemple de la clavicule, mettons? [01:10:39] Speaker A: Est-ce qu'il y a un moyen de faire revenir le coréen à... En fait, est-ce qu'il peut revenir à ce qu'il était avant? [01:10:47] Speaker A: Bien, si on regarde de ce côté-là, exemple, le jeune, lui, c'est sa clavicule côté gauche. À part d'avoir peur de se faire frapper comme son père, le jeune a 14 ans. C'est sûr qu'il va peut-être être plus peureux, craintif, etc. Je pense que c'est du volume à ce moment-là. Si on regarde Jaden Daniels, il est payé pauvre. Je m'imagine qu'il va voir un plein. C'est son côté gauche de ce que j'ai vu. L'opération, dépendant de ce qui va se passer à ce moment-là, Tu regardes un ACL à Kyler Murray, mais il est revenu aussi, ça prend du temps. Par exemple, pour Victor Charlin, je. [01:11:30] Speaker B: Ne l'ai pas vu encore. Je ne peux pas créer de pronostics. [01:11:34] Speaker A: Quand je ne l'ai pas encore rencontré à ce moment-là. [01:11:39] Speaker A: Ça dépend. Chaque blessure, chaque tempérament joue différemment. Autant qu'il y a des blessures, ça va jouer en ligne de compte. Mais de. [01:11:47] Speaker B: Manière générale, il y a quand même moyen de moyenner. Oui. Puis plus que c'est jeune, plus ils sont capables d'apprendre. Puis plus on... plus tard, plus que c'est leur leaving, bien plus que c'est facile parce qu'ils vont vouloir, c'est leur paycheck. Non, 100 %. En finissant, JP, si t'avais. [01:12:05] Speaker A: Mettons... Bien, si un QB nous écoutait présentement, Si tu avais un conseil à donner à ce corps-à-air-là pour lui permettre de. [01:12:16] Speaker B: Prolonger sa. [01:12:17] Speaker A: Carrière ou du moins lui permettre de continuer à être en santé et se développer, ce serait quoi ton conseil? [01:12:27] Speaker A: L'été et les bases. Ça reste le même concept tantôt. Un de mes exercices favoris, c'est le shoulder tap push-up avec rotation. No way! T'es surpris, hein? En fait, si on regarde, on fait le push-up, stabilité scapulaire et de la force. Shoulder cap, tu as stabilisé toute la stabilisation, etc. Puis rotation, c'est de l'antirotation, puis c'est du trunk. Puis c'est de la stabilité scapulaire aussi. [01:12:58] Speaker A: En fait, un exercice dans l'aspect comme ça, puis. [01:13:02] Speaker B: Là en plus, le deux tiers. [01:13:04] Speaker A: Du temps, tu l'as dans des exercices de yoga. Fait que là, on vient regarder la mobilité. [01:13:09] Speaker B: On vient regarder certaines affaires, le dumb duck, etc. Moi, mes QB vont faire des éléments de yoga pour leur mobilité. [01:13:19] Speaker B: Aïe aïe aïe, ok. Vraiment rot. JP? On vient de faire un exercice qui vient t'aider. [01:13:26] Speaker A: Pas mal à faire à. [01:13:26] Speaker B: Ce moment-là. Non, exact. Effectivement, le yoga. [01:13:30] Speaker A: J'Adorais faire ça, du yoga. C'est vrai que c'est vraiment tough, mais c'est vrai que c'est hyper bon pour ton corps, ta mobilité, puis travailler certains mouvements à ton corps, le poids. Un. [01:13:45] Speaker B: Poids de corps, oui. Oui, un poids de corps. Très intéressant. Pas obligé de faire du yoga si t'es pas trop zen, mais tu peux sortir des éléments comme je t'ai fait, un push-up, shoulder tap, pis ça. Il est long dans le yoga. Effectivement. Effectivement. Écoute JP, gros merci d'avoir pris de ton temps. C'était hyper enrichissant. Sais-tu quoi? J'avais dit au début que t'avais un style d'entraînement très différent de tous les gens que j'ai rencontrés, pis tu me l'as confirmé encore là. Tu m'as parlé beaucoup de la base, mais la base est hyper importante, de ce que je comprends. Vraiment intéressant, j'ai vraiment aimé ça de te parler aujourd'hui, puis aussi de voir à quel point. [01:14:27] Speaker A: Tu as appris des autres sports, des autres niveaux de sport, puis tu as été capable de le ramener à la base. Vraiment, vraiment cool. Non, merci. J'ai hâte de voir la suite de Rome Athlétiques et de ton développement d'athlète. C'est vraiment cool. [01:14:48] Speaker A: Merci de m'avoir invité et si jamais il y a des sujets quelconques que tu veux élaborer, ça me fera plaisir d'aller de l'avant.

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